Postérité de son œuvre

Postérité de son œuvre ? Le message

« d’amour et de lumière » de OIB est encore vivant et donc invincible.

 

Notre démarche est résolument tournée vers la réhabilitation de notre père, grand-père et arrière-grand-père OIB. Car accusé injustement de « Folie » par l’administration coloniale française pour le déporter en Oubangui-Chari, loin de sa famille et de son peuple.
Et pour quel résultat ? Il a été écarté de leur « jeu politique » et même de la vie sociale (empêché de travailler dans les entreprises françaises et administrations de la colonie pour gagner sa vie et s’occuper de sa famille…). Il a qualifié cette attitude de l’administration coloniale française à son égard, d’impolitique et hostile.

Or, il voulait simplement que se lève une « Nouvelle Aurore » dès 1932, au Gabon.

Son message est bien vivant et continue de vibrer en nous, c’est pourquoi :

1) La continuation dans la même direction que lui est bien enclenchée, d’où ce premier ouvrage « OWANGA OU L’APPEL DE L’AURORE » et d’autres sont en préparation, notamment sur une « Relecture de l’Acte du 1er juillet 1932 et l’Idéal de Lumière au Gabon ».
2) Un travail de collaboration avec des Chercheuses du CNRS et l’IMAF (Institut des Mondes Africains) est en cours pour une exposition numérique faisant un « focus » sur l’affaire OIB dont la thématique est : L’aliéné d’Afrique entre enjeux de pouvoir et instrumentalisation du savoir médical.
Ce qui atteste bien que le parcours singulier de OIB suscite toujours de l’intérêt auprès des universitaires qui s’interrogent sur la thématique des messianismes en Afrique et particulièrement, dans la zone équatoriale.
3) De nouvelles publications universitaires citant le cas de OIB ont récemment vu le jour, en langue italienne : « Folli, mistici e ribelli. Diritto coloniale e alterazione mentale in Africa equatoriale francese. Silvia Falconieri », mentionne « Owanga ou l’Appel de l’Aurore ».
4) Travaux de recherches de Silvia Falconieri, Sandra Fancello : Mise en lumière de l’histoire de Benoît Ogoula Iquaqua, afin de donner corps aux formes de répression par l’accusation de folie, et aux victimes de cette instrumentalisation.
5) Restauration de sa Bibliothèque-Musée, l’idée fait son chemin.
6) Réappropriation et reconstruction du village « Owanga ».
7) Réaliser une version anglaise : « Owanga ou l’Appel de l’Aurore ».

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